MATHILDE GELDHOF
Le cadre de l’appareil photo agit comme un filtre qui sonde l’ordinaire à la recherche de ses légendes.
L’observation du quotidien fonde mon interrogation sur le degré de réalité qui réside dans l’image photographique. Plutôt qu’une approche sérielle ou linéaire, mes recherches me conduisent à suivre un principe de composition qui s’appuie sur la spécificité des lieux, et de ceux qui les habitent, sur les liens réels ou imaginaires qui relient espaces et personnages.
La dimension fictive s’insère dans mes images, comme une réponse à l’impossible impartialité de la photographie. Elle se développe au gré de résonnances picturales, ou de déplacements de l’objet photographique au sein de structures évoquant livres, retables ou décors, comme autant de moyens de mêler différents registres. Des sujets anodins voire triviaux rencontrent le mythe, l’histoire du récit et de ses représentations.
L’observation du quotidien fonde mon interrogation sur le degré de réalité qui réside dans l’image photographique. Plutôt qu’une approche sérielle ou linéaire, mes recherches me conduisent à suivre un principe de composition qui s’appuie sur la spécificité des lieux, et de ceux qui les habitent, sur les liens réels ou imaginaires qui relient espaces et personnages.
La dimension fictive s’insère dans mes images, comme une réponse à l’impossible impartialité de la photographie. Elle se développe au gré de résonnances picturales, ou de déplacements de l’objet photographique au sein de structures évoquant livres, retables ou décors, comme autant de moyens de mêler différents registres. Des sujets anodins voire triviaux rencontrent le mythe, l’histoire du récit et de ses représentations.